30 octobre 2006

and now... out of normandie

Quand on habite en zone urbaine (sous-entendu: banlieue parisienne à vingt minutes de Paris en voiture hum), on s'émerveille facilement de la campagne, de la faune, de la flore, même des animaux communs comme les vaches ou les moutons. Sur le trajet, pour faire patienter les minettes, on disait: "La première qui trouve une vache/un cheval/une chèvre a gagné". Gagné quoi? rien du tout mais on s'en fout, là n'est pas le problème.







Puis forcément, Mini qui se croit en voiture comme à la réserve de Thoiry s'exclame:"Y sont où les anéfants"?



Bah Chérie, répond son père, ici en France, vois-tu, on ne voit pas d'éléphants en liberté, on n'est pas au Kenya. Les éléphants sont à Thoiry, là tu ne peux pas en voir dans les prés. On peut voir plein d'autres animaux, mais pas d'éléphants. Mini est fort déçue et se désintéresse subitement des vaches made in Normandie pour taper la discut' avec sa peluche éléphant, qui la comprend, elle.






Nounette, jamais en reste de remarques subtiles, demande alors:"Hé Papa, j'ai pas vu de zèbre non plus. Ils sont où les zèbres?" Son père s'empresse de lui répondre, ahahaha quel bleu, il est tombé dans le piège, grand nigaud qu'il est.


Ensuite, on se la jouait genre on est dans la savane profonde au fin fond du Zimbabwe, et on voyait des arbres top chelou (pour une fois, il pleuvait, quelle chance). Ici une sorte de baobab appelé cognassier dans nos régions:




On continue le périple, trop c'est l'aventure, même Indiana Jones n'aurait pas mieux fait que nous s'il avait eu trois gamins de moins de six ans. Oh! Ne pas manger le vilain champignon, ne touche pas à çaaaa, aaaaaaargh!



Euh le petit frère aussi, tu évites. Ben oui, il est vénéneux aussi, comme quoi, quand on est petit, ça n'empêche pas d'être dangereux (rappelez vous le mot clé: c'est l'aventure je vous dis!)



Enfin, nous sommes arrivés sur les rives du lac Kariba, à Villaines la Juhel, Mayenne. Limite on s'y croirait, hein.





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28 octobre 2006

j'a reviendu

Juste quelques mots pour faire patienter la foule en délire qui attend le récit imagé de ma petite semaine de vacances en Normandie. Déjà sachez que contrairement à ce qui a été annoncé, angel ne m'a pas viré de chez moi, ça va bien hein les fausses rumeurs qui sous-entendraient que mon chez-moi ne m'appartiendrait plus, c'est totalement faux.

Comme vous le remarquerez, nous avons eu beau temps et avons pu bénéficier de l'été indien, comme les 96.3% de la France:




Les enfants étaient ravis de barboter dans la boue et de crier le plus fort possible sans déranger qui que ce soit, puisque de toute manière, y'avait personne. Ame qui vive? Niet.

On avait un piti jardin très sympa:




Les moutons nous mangeaient dans la main, y'en avait un qui s'appelait Rafale et l'autre Mitraillette, je vous laisse deviner pourquoi.

Ensuite on a pris la route...



Bon au départ on écoutait la radio, et franchement, radio Normandie ou radio France Mayenne, c'est pas possible au bout de une demi-heure dont vingt minutes de pubs pour diverses promotions de boucherie au leclaire, j'en pouvais plus. Du coup, je peux vous assurer que c'est la loose complète d'écouter Patrick Fiori et Garou dans ND de Paris, je vous avoue que j'ai pas survécu psychologiquement.

Enfin, je vous laisse réfléchir à cette photo





Y'a un truc qui cloche.
Indice: coupe-gorge.



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22 octobre 2006

out of île-de-france

Bien que je me doute qu'en ce moment, je ne blogue pas énormément, mais que voulez-vous, les journées duracell n'existent pas, et, on est bien d'accord, c'est fort dommage. Alors savoir que je pars toute la semaine au fin fond de la campagne, ça doit vous passer au dessus, mais alors d'une force absolue.Trop l'aventure, l'excitation du départ sur la nationale 12, ses feux, ses cafés abandonnés, ses macdos, ses villages et ses arbres, même que des fois y'a des routes qui croisent la nôtre.

Bon avant de partir, demain je vais au concert de Ben Harper, ce qui me servira de condensé parisien avant le grand plongeon, parce que je fais ma fière, là, mais en fait j'en mène pas large.
Je pars dans un bled qui s'appelle "la chapelle d'andaine" diguedon, diguedondaine.
Oh ça a l'air sympa comme tout, j'ai trouvé tout un tas d'informations passionnantes qui, à coup sûr, me serviront tout le séjour.

La Chapelle-d'Andaine est une commune française, située dans le département de l'Orne et la région Basse-Normandie.La référence à la Forêt d'Andaine a remplacé en 1961, celle d'un nom de personne. La commune se nommait auparavant « La Chapelle-Moche ».


Hum. La Chapelle-Moche. J'aurais ptêtre dû consulter les guides touristiques avant de m'isoler de la sorte (pas d'adsl, no way). En tout cas, ce nom regorge de promesses. Bien sûr, vous aurez droit au compte-rendu, pour savoir si je me suis promenée avec mes bottes en caoutchouc dans la forêt, si j'ai marché dans la bouse de vache, si j'ai rencontré (voire parler à) des gens, si j'ai fait un peu de visites culturelles, des dégustations de tripes ou de boudin.

Soyez patients. Priez pour que le tueur vengeur masqué à la hache ne rôde pas trop près de notre gîte (je l'attends avec le râteau).

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16 octobre 2006

desperate

Bon j'ai hésité pour le titre de cette note, j'ai songé à "la loose intégrale" ou bien alors "la déchéance begins" , mais finalement je me suis décidée pour celui-ci, car cela confère une certaine classe voire une grâce certaine à l'expérience ultime que je viens de vivre.
Chonchon se réveille bien tôt le matin, voilà mon excuse, j'ai donc tous les jours de la semaine la teuté dans le pâté, oui je sais, je suis une faible créature qui se planque derrière un innocent enfant.
Le pire, c'est que je ne me suis pas rendue compte tout de suite de mon erreur. Enfin, je devrais dire plutôt de mon fâcheux oubli. Qui aurait pu me coûter très cher, surtout en réputation, ben oui quand même il faut savoir bien paraître en société. C'est important. Des fois.

Bref, comme d'habitude, ce matin je me suis levée comme je me couche, avec les poules.

Comme d'habitude, j'ai donné la tétée à Chonchon dans le lit, et quand ce fut fini, voilà, la journée commence, hop sur le pont à 6h30 (aaaaargh), plaignez-moi un peu, ça me réconfortera, parce que bon, on n'a pas la loose tous les jours. Je m'allume la télé avant que les filles ne soient levées, soit pour regarder les news (genre), soit pour mater des feuilletons débiles (plus mon genre). J'ai encore les yeux qui collent un peu. Vers 7h00, je fais le canapé et j'enfile mon pantalon (froid aux jambes) et mes chaussettes rembourrées (froid aux pieds) et je mets mon gilet (froid aux bras).

Je réveille les filles, les presse pour qu'elles se lèvent, s'habillent, petit-déjeunent, je les coiffe, j'habille chonchon, je m'habille et je me coiffe -apparence humaine, où es-tu ce matin?-, mais c'est bizarre, où est donc passé la deuxième partie de mon pyjama? Pff, je chercherai ce soir, hurry up girl!

Je mets chonchon dans l'écharpe et hop, hauts les coeurs, en route pour l'aventure (chemin de l'école)(enfin, on dira que c'est l'aventure, hein). Je ne ressens aucune sensation superflue, sur le coup, ça ne me choque pas du tout. J'accompagne les filles, je dis bonjour aux mamans super smart de l'école (voire bourgeoises pour certaines), je discute même avec la maîtresse de Mini. Tout est normal. Tout SEMBLE normal.
C'est effrayant.
Je rentre chez moi, je mets chonchon à la sieste, je regarde quelques épisodes de desperate housewives, sans me douter que cet intitulé me convient parfaitement. Je prépare le déjeuner, les filles rentrent, on déjeune et quand ce fut terminé, je m'installe devant l'ordi. Passionnant, n'est-il pas? Ne sentez-vous pas que quelque chose de TERRIBLE va arriver? Va M'arriver, à MOI?
Je me rends aux toilettes, afin d'y lire un délicieux guide de la grossesse planqué là depuis environ dix-huit mois, je baisse mon pantalon et...
PUNAISE
...

LA LOOSE!
...

AAAAARGH!
....

MAIS POURQUOI MOI HEIN?

J'ai oublié d'enlever le short de mon pyjama. Depuis sept heures du matin. Il est 13 heures. J'aurais pu avoir un accident, et qu'auraient dit les pompiers? Et le docteur Ross? La teuhon sur toute la ligne, ils se seraient marrés en coeur en critiquant mes sous-vêtements pourris alors qu'en fait c'est mon pyjama bourdel, j'ai pas fait EXPRES de me fringuer si large!

J'ai du appeler angel pour qu'elle me réconfortasse, et vous savez ce qu'elle a répondu?
"C'est blogable"

Bouhouhouhou.
Je ne sais pas ce qui est le plus la loose: avoir oublié d'enlever le short de mon pyjama snoopy ce matin et de m'être habillée par dessus, ou alors de bloguer le tout.

Rendez-moi mon cerveau.

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09 octobre 2006

le jour de la revanche

Comme je sens une certaine lassitude du lectorat face à mes problèmes de microbes en tous genre (mise en vente: 1€), j'ai décidé de changer un peu de sujet.
Aujourd'hui, j'ai essayé de promulguer ma journée (attention c'est original): le "no complaining day". Grosso merdo, il s'agit d'un jour unique dans l'année pendant lequel j'essaie de ne pas me plaindre de tous les petits tracas de la vie quotidienne, les emmerdes diverses et variées. Bon, je n'ai pas dit non plus que demain, ce ne sera pas la dose double mit sauce picalilly. Voilà, c'est walt disney en ma demeure, everything is allright (ou c'est tout comme), on prend du recul et on fait genre.

Enfin, j'ai essayé. C'est vrai quoi, l'humour a bon dos, mais quand y'en a marre, y'a malabar.
Voilà, aujourd'hui, je ne dirai rien que des choses positives qui font soit avancer le monde, soit le rendre plus beau comme dans une pub pour la lessive.

Remarquez, on peut toujours réussir à se plaindre ou à mentionner ce qui ne va pas en utilisant un moyen très simple et pourtant littéraire: la négation. Très pratique, la négation.
Exemple: au lieu de dire "chonchon a vomi partout sur le parquet", on peut dire "tout va bien aujourd'hui, c'est pas comme si chonchon avait vomi partout sur le parquet". Cela induit l'idée générale sans pour autant faire allusion à un moment réellement vécu. Ou alors remplacer "j'ai pas passé une nuit correcte depuis dix jours" par "bon, excusez-moi de mon humour pourri, c'est pas comme si je dormais bien depuis dix jours". Quelle finesse! Quelle classe! Cela force l'empathie chez les gens, cela leur demande un minimum de gentillesse pour dire "beh alors, c'est pas la forme hein, keskisspass?".

Bref.
Essayons de lister les choses positives de la journée. Déjà Mini a pu retourner à l'école, après une semaine d'absence. Good point. Mon brownie au caramel is very delicious. Excellent. J'ai oublié de me peser ce matin (parce que je me suis levée à la bourre): yes! Bah oui, c'est en totale concordance avec le brownie. Imaginez une balance qui vous dise: vous avez ingurgité 57% de matière grasse aujourd'hui, maintenant ça suffit bien, c'est légumes vapeur pour...un mois...Pitié. A ce moment là, on n'oserait plus bouffationner tout le brownie qui colle aux dents et aux petits atomes de cellulite astucieusement localisés sur vos hanches et vos cuisses. Or, là, non. Tout va bien quoi, c'est idealistic no problemic, et en plus je booste ma créativité en inventant des mots débiles, mais ça me fait plaisir. Et j'ai limité l'écriture de mots comme m******s ou g****o sa mère la grougnasse.

Applause, please.
Maintenant, le 9 octobre, c'est le " no complaining day", sauf si on n'a pas envie, parce que.

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06 octobre 2006

en terre cuite

C'est la loose les gens.
La gastro, ennemie jurée, est entrée dans notre home so sweet home et y a jeté son dévolu sur la personne la plus affaiblie, à savoir Mini.
J'ai vraiment l'impression de me transformer en blanchisseuse et garde-malade, à ne pas pouvoir sortir car elle ne tient pas debout. Enfin, je ne vais pas vous expliquer le fonctionnement de la g'astro non plus, vous aurez compris.

Je suis au top de la réjouissance, si si, vraiment. C'est juste que je ne le montre pas trop, ça risquerait de s'arranger.

**soupir**

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04 octobre 2006

the revenge of the cro-crobz

Et oui, neverending pleasure forever, I love you so much.
Quand on attire, on attire, point barre.
Inquiète de l'état de santé de Mini, qui tousse malgré les aérosols, je dis:"euh elle tousse toujours autant, c'est normal?", une chose qui se prétendait infirmière répond: bah c'est un hôpital ici madame, pas la cour des miracles", expression qu'elle a du ressortir des centaines de fois. Pov femme, c'est sûr que si ça avait été la cour des miracles, elle aurait pas eu cette tronche.
Bref.
Le lendemain, c'est le statu quo. J'envoie Nounette à l'école avec angel et je reste cloîtrée dans mon chez moi, parmi les miasmes. Je rappelle que j'ai dormi que deux heures la nuit d'avant, donc je suis légèrement dans une nébuleuse interstellaire, si vous voyez ce que je veux dire. Je me couche donc dans mon lit, avec comme compagnie Mini qui tousse toujours comme une tuberculeuse. So charming, isn't it? On réussit à dormir une heure avant qu'une quinte la refasse vomir dans le doudou bassine, toujours à portée de bouche dégueulatoire, ne jamais s'éloigner de la Bassine, c'est primordial.
Et après, c'est reparti, quinte sur quinte, toutes les cinq secondes (j'ai compté). J'essaie de joindre un doc, je panique un peu, puis finalement, on me conseille de redonner ENCORE de la cortisone. Bienvenue in shoutland. Cortisone prise, je me dirige vers la maisonnée d'angel afin d'y déposer l'enfant malade et ensuite aller chercher les filles à l'école.
Je lui donne du sirop. Cinq secondes plus tard, l'exorciste. Parquet maculé de vomi. Oué, trop de la balle, miamiam, l'odeur délicieuse emplit mes naseaux. Angel se débine, embarque chonchon et va chercher les filles (je la cite: "le vomi, je peux pas, cherche les produits ménagers à toute").

AAAAAAAAAAAARGH!

Y'en a partout, dans le salon, la cuisine, qué bonhor. Elle a flippé un peu, et du coup a un peu couru dans l'appartement en vomissant, et pas de Bassine integrée au menton, dommage.
Après avoir nettoyé, re-sirop, re-babyhaler.
Et re-sirop le soir avant de se coucher.
Nuit de quatorze heures.
Le lendemain matin, re-cortisone.
Une certaine lassitude m'envahit. Je suis comme qui dirait extrêmement lasse, c'est vrai quoi, c'est du vaudou ou bien?

Surtout qu'à midi, je prends la température de Nounette, 39°2.
Qui m'en veut?
Chonchon tousse à s'en décrocher les poumons.
Qui m'en veut, j'ai dit?

Bon je vais hiberner, je reviens vers le mois d'avril, par là.

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03 octobre 2006

l'attaque des mimi crocrobes

Bien bien bien. Je me suis demandé quand même si je n'allais pas venir raconter mes malheurs du moment ici, quitte à me plaindre, au moins personne ne m'entendra. C'est vrai quoi, j'ai perdu tout sens de l'humour, vraiment ça va plus, fallait que j'en parle.
Tout a commencé vendredi soir dernier, quand Pierre Richard est parti à sa séance de jeux de rôles, et qu'il m'a plantée avec George Clooney dans Syriana (je suis intellectuelle si je veux, et surtout avec George, n'est-ce-pas Anne?). J'étais complétement dans l'action, même s'il m'a fallu un petit temps au démarrage (euh chuis con ou quoi, je comprends pas tout mais euh!), quand soudain j'entends Mini tousser dans sa chambre. Ah ben tiens donc, l'attaque des crobes, ben non quand même c'est pas possible? J'arrive dans la chambre et je dégaine mon babyhaler, quand soudain
GROUPBFFFLLLL
Offensive de la gerbe puante sur mes pieds.
Buuuuuuuuark!
Gamine en totale panique, qui vomit, revomit et planplan la mémère que ça sent bon chez moi dites donc, miam miam les miasmes.
Une douche et un dvd plus tard, tout se termine bien.
Samedi soir, re-toux. Plus costaude cette fois. Revomi (soyons fous, enfin, surtout moi, là), reventolinée, et pan un chouïa de cortisone quand même *soupir las*.
Dimanche, on va voir le doc. Plus mou du bulbe, not possibeul. Gnagnagna mais elle a rien votre fille, donnez lui de la cortisone, c'est 50€ au revoir.
Cortisone, no effect. Quintes rauques, aboyantes, impressionnantes.
Mais euh!
On appelle le samu, qui nous recommande une petite visite aux urgences, tiens donc. Comment faire quand on doit aller aux urgences et qu'on n'a pas de voiture?
Ben on demande, pardi.
Non, je vous assure, c'est pas du tout gênant.
Qui c'est donc qui a du réveiller son père à trois heures du matin pour prendre sa voiture? Et oui, l'héroïne du quotidien que je suis, qui en plus est une méga trouillée du noir et n'aime pas du tout marcher dans la rue la nuit seule dans le noir que c'est jamais assez éclairé je trouve.

Direction les urgences pédiatriques.
J'apprécie la sortie nocturne alors qu'on a consulté un doc douze heures auparavant.
Enfin bref.
On lui redonne de la cortisone, et elle doit aussi avoir une petite séance sympatoche d'aérosols.
Alors 1/ la cortisone c'est dégueulasse au dernier degré, donc pas facile facile à donner 2/ les aérosols c'est bien gentil, mais quand on a une forcenée qui n'a pas dormi depuis deux nuits, faut être musclé(e) 3/ j'aurais du emporter de la lecture, parce que Messire Lion et Badaboum l'éléphant m'ont vite gonflée.
Bref, tout ça n'a servi à rien, car rentrée à la maison, c'est encore des quintes de toux à n'en plus finir. Tout ça se termine dans la vapeur d'eau chaude dans la salle de bain, genre sauna aérosol de première catégorie.

C'est déjà follichon, hein?
Ben c'est pas fini (ça aurait été trop beau)
La malédiction des virus immondasses leur mère la poutasse a encore frappé.
...la suite, plus tard, parce que là, j'ai piscine.

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