10 septembre 2004

Tu vas m'obéir, oui?

C'est quoi ces manières?
J'aimerais assez que tu m'obéisses, j'en ai assez de tes vélleités d'indépendance. Jamais tu ne m'écoutes, jamais tu essaies de comprendre. Oui, c'est à toi que je parle. Tu fais encore semblant de m'ignorer, de me narguer, toi qui est tout plate comme une limande. Remarque, maintenant, tu fais moins ta maligne: d'ailleurs je t'ai toujours dit "rira bien qui rira le dernier".*

TOI!
LA BALANCE TERRAILLON!
OUI TOI LE PESE-PERSONNE QUI SE LA PETE!


Il est temps de réagir, d'affirmer ses volontés. Il est temps de ne plus se laisser marcher sur les pieds, de ne plus se faire abuser. un nouveau règne commence. Un monde où la balance se la joue beaucoup moins. Ben oui, ma poulette, c'est une révolution. Bon, c'est un peu facho, mais tu l'as méritée, grognasse.



Autant de le dire maintenant, celle qui t'a précédée est décédée dans d'atroces souffrances. En effet, je lui ai sautée dessus. Et ça m'a bien calmée. Par contre, elle s'en est moins bien sortie. Elle a sûrement rencontré des copines, à la décharge.