27 janvier 2005

Bus en retard, froid de canard

Dans la série ma vie est top canon trop délire passionnante quand même des fois...
Toujours?
Bon, d'accord, toujours.
Bref, dans cette série là justement, hier soir j'ai même expérimenté l'expédition nocture par -2°C effectif, température ressentie -7 au moins.
Il fallait (encore) que ma fille aille voir le doc.
Polaire, couverture, gants, manteau, bonnet, attention on va traverser le Pôle Nord.
Après avoir attendu et encore attendu et encore attendu, vers 20.15, c'est notre tour.
A 20.38 (précises), nous sortons.
Chouette, me dis-je, le bus est à 20.45, je n'aurais que 5 minutes à attendre.
Tu parles, ça aurait été trop beau.
20.48, personne
20.51, pas l'ombre d'un bus d'un car d'un autocar ou d'un autobus.
Purée, je vais geler sur place, prendre racine dans le trottoir, serai-je à Vladivostok? Peu à peu, refusant de me transformet en schtroumpf, je prends une grande décision.
Rentrer à pied (dans le blizzard)
Je cours pour réactiver la circulation sanguine dans mes pieds.
Imaginez le tableau (sans rigoler)
Le bus de 21.10 me double.
La haine des bus soudain m'atteint.
Ils ne peuvent pas être à l'heure, aussi?

Bon maintenant j'ai un peu honte, il faudrait aussi que je raconte des trucs intéressants sur ce blog, pas juste des tranche de vie soporifiques qui endorment tout le monde, même moi.





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