25 février 2006

j'aime les doudous

Bon.
J'ai l'impression très vive que je suis allée trop loin dans mes propos en ce qui concerne Christophe, le doudou de ma fille. Trop de cynisme et de méchanceté tue ce qui restait de traces d'humour, je le regrette d'ailleurs.
Je n'ai aucunement l'intention de m'en débarasser, comme je refuse de jeter ne serait ce qu'une seule des innombrables peluches de mes enfants.

Une fois, j'ai même téléphoné au fabriquant de doudous de ma fille (15 mois) parce que j'avais perdu (enfin, quelqu'un l'avais pris dès que j'ai eu le dos tourné, quand j'y suis retournée cinq minutes après, il avait disparu) son doudou aux urgences pédiatrie, puis fait cinquante kilomètres pour retrouver le même. J'en avais pris deux, d'ailleurs. Depuis, il n'en reste qu'un, elle a perdu l'autre.




Doudai est ravagé de la face, doudai est usé, doudai le lutin n'en peut plus. Mais il sait rester fort, malgré tout. Le voici qui pose avec Christophe.





Croyez-moi les gens, je suis une grande sensible même si des fois je présente les choses de manière un peu abrupte (même si je le trouve moche Christophe uhuhuh). Ces doudous ont leur histoire, et avec eux je revois mes filles bébés, et c'est irremplaçable.

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