17 janvier 2008

grisaillitude

Oulà, ce blog, c'est le désert en ce moment. J'en suis fort désolée.
J'aimerais, pourtant, raconter les trucs passsionnants qui m'arrivent, ces évènements palpitants restent donc dans mon chez-moi sans franchir les barrières de mon ordinateur, qui bugue tous les jours. Mais comme je n'ai pas le temps de l'ausculter, il demeure malade, pov bête.

C'est évident, le temps me manque, mon cerveau lui-même est en ébullition proche de l'explosion cataclysmique, mais si, puisque je vous le dis.

En plus, hier, j'ai été encore plus perturbée, parce qu'étais encore plus moche que d'habitude. Tout ça parce que j'ai voulu éplucher des patates, je me suis retrouvée avec un oedème de la paupière mit grosses cloques. Oh, c'était encore une fois pour faire mon intéressante, j'en conviens. Je me baladais avec mes lunettes de soleil afin de ne pas effrayer les passants dans la rue, alors qu'il pleuvait comme vache qui se soulage. J'ai du me droguer aux antihistaminiques, donc après, hop, molle le reste de la journée, trop super top c'était ça que j'avais prévu. Y'en a qui pleurent en épluchant les oignons, et moi, je fais un oedème en épluchant trois patates. La classe.
Non, pas de photos, j'en ai, mais ça fait vomide.

Voyez donc à quel point ma vie relève de la passionantitude.

J'ai juste l'impression d'avoir des tonnes de trucs à faire, et d'arriver à rien.
D'être à côté de la plaque, de viser loin du but.
Je rêve de palmiers, de soleil, de plages de sable fin, mais je crois que c'est un peu normal quand on est sous la grisaille parisienne, mais quand même.

Ceci est un appel au mécénat pour mon futur voyage aux Seychelles.
Hum.



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