26 mars 2008

muy elegante

C'est le moins que l'on puisse dire.
Au faîte du glamour, à l'apogée de la classitude, au summum de la beauté et de l'élégance, c'est tout moi ça, dites donc. Je pourrais poser en couverture pour closer avec comme titre "les abus des stars".
D'abus, pourtant, il n'en est point. Sauf dans mes rêves, mais ça n'a rien à voir.

J'ai attrapé le rhume de mon fils, et que lui, hop en 24 heures c'était plié, par contre, moi, je me noie encore dans une mer de kleenex. L'injustice est de ce monde.

C'est super moche, vous savez, quand vous vous mouchez mille fois par heure, et qu'au bout du compte, la zone entre le bas du nez et la bouche se retrouve à vif. Les petites peaux partent en vrille, c'est rouge, les lèvres sont asséchées comme celles d'un chameau en plein Sahara.
Ouuuuh sexy.
Oh j'essaie de ne pas me laisser aller et je fais péter le truc spécial peaux explosées dessus, mais vous savez, finalement, vu que je me remouche cash derrière, ça fait une espèce de dépôt abject, c'est juste pas possible. En plus, ça pique, je déteste quand ça pique, je hurle comme un coyote quand ça pique. Alors je dis non au piquamente, baby.
Sauf dans les fajitas.

Le rhume, c'est la louze, avec la fièvre, une monstrueuse envie de dormir t'envahit, mais tu peux pas dormir, t'as chaud, t'as froid, tu tousses et tu mouches, t'as les cernes qui poussent.
La seule chose qui réconforte, c'est de se dire: même Monica Bellucci est malade, parfois. Et que pour elle, c’est pire, parce que Vincent Cassel. On ne peut pas tout avoir, darling.


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