24 avril 2008

i slept with george clooney

J'ai pris mon dernier cacheton ce matin.
Ah punaise la délivrance.
Maintenant j'attends de retrouver des bras de taille normale. C'est ballot car il fait beau pour une fois. Déduisez en donc la conclusion qui s'impose.
Sinon, à part la réduction de sommeil imposée par la cortisone, je tiens à dire que je fais des rêves d'une zarbitude rocambolesque. Quoique, je ne dirais même pas qu'ils sont étranges, je n'arrive d'ailleurs même pas à mettre de mots. Déjà pour commencer, dans mes rêves, je suis super bien foutue. La bombasse. C'est ma belle-soeur qui a suggéré ce petit détail à mon inconscient, qui s'est donc largement amélioré je vous ferais dire. Bah oui, tu tombes tout ce qui bouge dans tes rêves, la classe.

Après, je me réveille, je m'aperçois que je n'ai pas encore tout à fait dégonflé, que j'ai des oedèmes aux mollets donc pour la perfectitude de la gambette, on repassera, que mes cheveux n'ont pas poussé de 27 centimètres pendant la nuit, que j'ai la peau sèche que même un flacon de crème la roche posay n'en vient pas à bout dans un claquement de doigts, et que mes sourcils ne se sont pas épilés tout seuls comme par la magie ancestrale onirique de la muerte absolue.

Alors la conclusion que j'en tire, c'est que les rêves, c'est bien joli je te ferai dire d'abord, mais que ça serait bien aussi que la réalité y mette un peu du sien hein. Je ne demande pas grand chose non plus, c'est pas comme si j'exigeais un voyage à Bora-Bora pour me remettre de mes émotions.

(Le titre est une réalité onirique, et puis y'a personne pour vérifier)
(Et y'a pas que George dans mes rêves)
(ça se bouscule au portillon)
(mouarf)
(Je m'inquiète quand même un peu des fois quand je rêve)



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