cours flemmasse
Mercredi, jour des enfants.
Mais pas du tout jour des parents, et encore moins de la délicieuse mère de famille qui a décidé de prendre un congé parental et qui s'occupe avec enthousiasme de ses trois enfants.
Courir est le mot qui me vient à l'esprit.
Un enfant: tu cours un peu.
Deux enfants, tu cours beaucoup.
Trois enfants: tu cours énormément.
(Ptain quatre ça doit être la folie)
En plus, je n'ai même pas pu profiter d'une tranquillité relative dimanche, fête des reums je te ferai dire d'abord, puisque Pierre R. a eu la bonne idée de travailler (plus pour gagner moinsse) en ce jour de félicité supposée, et qu'à la place d'une journée de repos bien méritée, j'ai du me lever aux aurores pour m'occuper des mômes, ste scandale. Pourtant, Mini avait dit que dimanche, je ne devais RIEN faire, ce qui m'a surpris lorsque je l'ai entendue se précipiter vers mon lit en geignant "j'ai faaaaaim maman j'ai faaaaim", oubliant alors, par le pouvoir de l'estomac tout puissant, que ce dimanche, normalement, sa mère ne devait pas en foutre une seule.
Tu parles hein, c'est jamais comme ça en fait, Pierrot Richardou, c'est un grand gosse en plus, il a beaucoup besoin de mon avis sur plein de trucs, alors il me réveille pour me parler de lave-vaisselle ou de linge sale, comme si c'était mes spécialités. Je crois que je lui manques quand je dors. Non ce n'est pas moi qui lui manque en fait, c'est mon avis éclairé.
Il m'appelle même quand il sait que je ne peux pas répondre (genre rendez-vous à l'hosto dans une cabine en plexi que dedans tu manques le malaise de peu tellement t'es claustro, déjà que tu peines à respirer, tout de suite tu penses à téléphoner tiens comme de par hasard)(j'adore dire comme de par hasard).
C'est donc comme ça, à force de courir, que je me tape une putréfaction intense du gros orteil, vous comprenez, il travaille beaucoup trop. Mon doc n'a pas confirmé cette version des faits et m'a proposé un traitement radical: le sécateur. Nan mais attends, il est gentil lui, je vais pas EN PLUS devoir me trimballer chez truffaut pour chercher son truc, nan mais ça va bien lui aussi hein.
Et aujourd'hui, ce sont les 19 ans d'angel, allez donc lui souhaiter, hop hop et plus vite que ça.
Mais pas du tout jour des parents, et encore moins de la délicieuse mère de famille qui a décidé de prendre un congé parental et qui s'occupe avec enthousiasme de ses trois enfants.
Courir est le mot qui me vient à l'esprit.
Un enfant: tu cours un peu.
Deux enfants, tu cours beaucoup.
Trois enfants: tu cours énormément.
(Ptain quatre ça doit être la folie)
En plus, je n'ai même pas pu profiter d'une tranquillité relative dimanche, fête des reums je te ferai dire d'abord, puisque Pierre R. a eu la bonne idée de travailler (plus pour gagner moinsse) en ce jour de félicité supposée, et qu'à la place d'une journée de repos bien méritée, j'ai du me lever aux aurores pour m'occuper des mômes, ste scandale. Pourtant, Mini avait dit que dimanche, je ne devais RIEN faire, ce qui m'a surpris lorsque je l'ai entendue se précipiter vers mon lit en geignant "j'ai faaaaaim maman j'ai faaaaim", oubliant alors, par le pouvoir de l'estomac tout puissant, que ce dimanche, normalement, sa mère ne devait pas en foutre une seule.
Tu parles hein, c'est jamais comme ça en fait, Pierrot Richardou, c'est un grand gosse en plus, il a beaucoup besoin de mon avis sur plein de trucs, alors il me réveille pour me parler de lave-vaisselle ou de linge sale, comme si c'était mes spécialités. Je crois que je lui manques quand je dors. Non ce n'est pas moi qui lui manque en fait, c'est mon avis éclairé.
Il m'appelle même quand il sait que je ne peux pas répondre (genre rendez-vous à l'hosto dans une cabine en plexi que dedans tu manques le malaise de peu tellement t'es claustro, déjà que tu peines à respirer, tout de suite tu penses à téléphoner tiens comme de par hasard)(j'adore dire comme de par hasard).
C'est donc comme ça, à force de courir, que je me tape une putréfaction intense du gros orteil, vous comprenez, il travaille beaucoup trop. Mon doc n'a pas confirmé cette version des faits et m'a proposé un traitement radical: le sécateur. Nan mais attends, il est gentil lui, je vais pas EN PLUS devoir me trimballer chez truffaut pour chercher son truc, nan mais ça va bien lui aussi hein.
Et aujourd'hui, ce sont les 19 ans d'angel, allez donc lui souhaiter, hop hop et plus vite que ça.
Libellés : la vie à cinq
propulsé par alixà peu près vers 7:12 PM
