28 septembre 2007

non, noos N'est PAS moldave

Et merci à mon blog qu'il est trop bien pour une fois. D'habitude il ne sert qu'à me défouler, et c'est toujours ça de pris diront certains. Mais comme je suis une grande râleuse devant l'éternel...
Merci donc au responsable de chez noos qui m'a contactée via mail, ptêt que mes soucis vont prendre fin, et si j'ai de l'espoir, parce que sans espoir la vie n'est pas aussi belle que dans une chanson de Graeme Allwright. Puisque je vous le dis. Des fois quand tu y crois plus, faut y croire encore (je ne me souviens plus si c'est la philosophe Lara Fabian ou la bouddhiste Céline Dion qui a dit ça). Et je suis très très forte en ce moment en citations Charles Ingalls like, je me fais peur oulà. Un exemple: ouh il fait pluie ce matin, je crois que demain sera meilleur, ah si chaque jour pouvait être beau et merveilleux. Vous ne voyez pas le rapport? C'est normal.

Pas merci à Gilles, c'est dégueu mais vraiment dégueulasse de me faire baver devant une pièce de théâtre hors de prïce mit Vincent Elbaz, parce que quitte à y aller, autant être au premier rang hein (oui j'ai des goûts de lusque, j'assume), et que tout mon argent est parti dans le remplaçage de ma dent à prix abusif. Nan mais je veux pas faire la groupie non plus, ça serait déplacé. Je ne suis pas une MADAME pour faire semblant.
Et puis c'est malin aussi, je suis totalement accro à Scott Matthews maintenant. Je l'écoute en boucle. Sauf quand j'écoute double creux, à mes moments de grosse marrade. Ce qui n'arrive pas souvent, faut le dire, je suis, comme angel, super sinistre et j'ai fait du faisage de tronche une condition sine qua non de ma vie quotidienne.


Sinon, pour tous mes fans en délire, et y'en a j'en suis sûre, prêts à se pendre en grappes à mon gilet roude, je serai demain au Festiblog. Ma première fois: il y a deux ans, j'avais une bronchite mit voix d'homme et l'année dernière, un gosse avec 39°. Cette année, qu'il pleuve ou qu'il vente, avec ou sans parapluie -qui me file un teint verdâtre gastro permanente- mais avec mes lunettes de soleil. Ce n'est pas un mythe, c'est la réalité. Je ne peux pas les quitter. Je me sens toute nue sans mes lunettes. Je serai collée à angel, parce que je suis timide, je ne chante pas des ritournelles à tout le monde tout de même, je sais me tenir en société. Promis. Sauf sacrée bouteille. Sous la pluie. Merveilleux.

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