14 juillet 2008

mais non voyons

Je viens de charger mon monospace avec trois tonnes de valises et de sacs, plus rien ne rentre (même moi je me demande si je vais finir par pouvoir rentrer ma fesse droite).
Tout ça m'a épuisé, l'aménagement de sacs et de valises pas compatibles, forcément, ça m'a demandé une intense réflexion qui m'a momentanément dépassée. Si si, vraiment, à un moment le coffre ne fermait plus, ça m'a fait comme des petites ébullitions neuronales, je me suis sentie toute chose.
Limite le bas de caisse frotte le trottoir en plus, je vais être obligée de faire les 136km de route à 20km/h, que ça va me klaxonner au u, quelque chose de grand. On n'est pas rendus, on aurait du partir à 7h ce matin.

Voilà, on part dans 45 minutes, je me creuse encore le cerveau genre je suis sûre d'avoir oublié un truc indispensable à la survie en milieu campagnard.

Mon Chonchon est tendu car il a peur qu'on l'oublie, qu'on laisse sa cargaison de véhicules en tous genre sur le palier, donc il vit avec une valisette remplie de majorettes greffée à la main.
Mini est pas au top, chouine à qui mieux mieux, mais heureusement, on n'a pas oublié la valise de Lumpy (le doudou), Pota (le doudou aussi), Doudai (encore un doudou) et éléphant bleu (doudou again), ni celle d'Antoine (son poupon préhéfré), ainsi qu'une cargaison de dînette, de vêtements et de jeux de cartes.
Nounette s'est arrangée pour mettre toutes ses peluches dans un sac qui ne ferme pas et passe son temps à regarder Maya l'Abeille pendant que tout le monde turbine à côté d'elle.

Mais non voyons je ne suis pas stressée, pas du tout, je pars en vacances voyons.
Avec 13 autres personnes.

Yiha youpikaïdi ouuuuuh

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