27 janvier 2009

da sarkrozi code

Trop de codes m'embrouille l'esprit.
C'est une belle invention, le code, c'est comme un secret finalement. On en cumule autant que possible, et au bout d'un moment, les petits cerveaux les expulsent tous en vrac.
Et ça nous fait un beau micmac:


FAIT:
  • taper le code de la photocopieuse de l'école (5 chiffres) sur l'antidémarrage codé de la voiture (4 chiffres) qui hurle par bipbips stridents son désaccord, on le comprend bien d'ailleurs,
  • taper le code de la voiture pour payer l'essence, à la place du code de mon american express bleue visa;
  • taper le code de la carte bleue sur la photocopieuse, dans l'espoir inconscient que celle-ci me déverse quelques billets au lieu de me délivrer un magnifique doublon de mon calendrier prévisionnel de mes 54 heures dûes (à rendre avant le 15 décembre, toujours dans ma pochette).
Sinon:
J'ai enfin reçu ma carte de syndicaliste. ça m'a rendue toute chose. J'aime bien savoir que je ne suis pas seule.
Je trouve d'ailleurs que c'est une HONTE (ces propos n'engagent que moi) que ma collègue gréviste, que je soutiens à 100%, soit remplacée jeudi par une animatrice de cantine qui empeste le tabac à quinze kilomètres et qui parle aux gamins avec une condescendance certaine mélangée à de la niaiserie indubitable (je ne sais/peux pas décrire mieux). J'ai appris ça APRES avoir, pour la première fois depuis septembre, rangé impeccablement mon bureau et le radiateur le long de la fenêtre. Pas intérêt à mettre ses sales pattes dans mes affaires.
Espérons qu'elle ai préparé sa classe (sic).
J'ai également lu quelque part que nos chers zaminches de l'Uh Aime Pet voulaient condamner l'"abus de grève". Je me demande ce que Nikolaï Sarkrozov et Vaxier Cardos & co entendent par cette expression dont les deux mots me paraissent totalement incompatibles. Malheureusement, je crois saisir par là une certaine restriction des libertés individuelles.

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