29 juillet 2005

en route pour l'aventure

Allez hop on y va, en route pour l'aventuuuuuure, on n'y résiste pas, lalalalalala...

Ou alors


504 break chargé, allez montez les neveux
Juste un instant que je mette sur le toit la grosse malle bleue
Nombreux comme une équipe de foot, voitures à ras du sol
On est les derniers locataires qui décollent...


Sauf que nous partons en tégévé 1ère classe (si si), que la voiture chargée sera conduite par Pierre Richard himself. Préparatifs en cours. Sacs de voyage non conformes aux exigences de restriction imposées par les autorités.





BONNES VACANCES !

28 juillet 2005

wherever I may roam

Depuis mardi j'écoute



han purée c'est trop bon. Je mets le volume (presque) à max, et je chante (super bien). Limite j'ai ressorti mes albums de Metallica (ok je ne les avais pas complétement rangés). Je crois que je vais mettre ce cédé dans mes valises: réjouissez vous, futurs colocataires (mouahahaha)
Merci din(bisous)



sinon



On ne peut plus me louper maintenant. Tout à l'heure j'ai poussé des gens pour être preum's à la caisse prioritaire (ben quoi? j'ai le droit hein!)

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25 juillet 2005

gâtée pourrite

Il faut reconnaître que j'ai été super gâtée pour mon anniversaire.


Tout a commencé par...


(Merci Paula)

Et puis ensuite



ouéééé: trop c'est ma fête! Merci les ami(e)s. Des dvds, des bouquins, des bd, un coffret de massage chinois, des cd, et même un jeu vidéo qui fait peur. J'ai de la chance, oui, c'est vrai (et pas seulement pour les cadals ;)

Ensuite Heidi m'a dégoté ce magazine (j'attends l'original uhuhu)



(et aussi des ptits angelots chez del ici)

Et puis aussi(je sens bon, trop de bonheur)


Et enfin, ma soeur à moi a eu cette idée pas du tout encombrante (mais finalement a trouvé son utilité, merci à angel pour l'idée)



Merci à tous et grosses bizches :)

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21 juillet 2005

31

Aujourd'hui c'est mon anniversaire.
Punaise, 31 ans!
Comment ça me fait rien du tout (presque): je crois que prendre une année ne m'a jamais aussi peu importé. A part peut-être quand j'étais toute petite.
J'eusse voulu faire fonctionner le scanner de la maison de mes parents, mais j'y arrive pas. Vous auriez pu me voir en salopette à pois, ou en collants bleu marine. Trop dommage hein!
Bon, je vais demander aux âmes compatissantes de bien avoir pitié d'une femme enceinte en détresse tout à l'heure, et peut-être pourrais je m'étaler sans aucune honte en tenue que je n'oserai plus jamais porter.
Bisous à tous, et encore merci pour vos messages sur le précédent post, je suis super touchée.

20 juillet 2005

ayé, je vole

Depuis ce matin, je n'arrête pas de relire ce courrier.
Je le recopie ici (parce que vous le valez bien)

LABORATOIRE D'ETUDES DE BIOLOGIE PRENATALE

Madame,
J'ai le plaisir de vous annoncer que l'examen chromosomique effectué sur les cellules foetales prélevées par amniocentèse, le 4 juillet 2005, a montré une formule chromosomique sans anomalie décelable.

Le caryotype correspond à celui d'un garçon.

Le résultat du caryotype est adressé à votre médecin.

Je vous prie de croire, Madame, en l'assurance de mes sentiments les meilleurs.

Signé: Docteur Christine M.


Docteur Christine, merci, vous venez de m'offrir le plus beau de tous mes cadeaux d'anniversaire.
Rien que de l'écrire, et de le relire pour la millième fois, ma sensibilité de femme enceinte remonte grave à la surface (grosso modo, je pleure comme une madeleine).

I'm walking on the moon (si c'est moi la grosse tache noire là).

Et oui, je dévoile le sexe de mon bébé, car avec la méga frayeur qu'il a causé, fallait bien ça.

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18 juillet 2005

déo acier


Mais qu'est ce que c'est que ça?





L'autre jour, j'ai découvert cette chose.
Ce n'est ni une pierre ponce, ni un truc d'outillage, ni un objet de torture.
Ceci est un savon.
Un savon d'acier.
Je sais pas pourquoi, mais je trouve ça carrément dingue cette appellation. Je me demande si ça fonctionne. Genre on se frotte les mains qui puent grave et hop, apu odeurs désagréables, on retrouve ses mains qui sentent trop bon. D'ailleurs, si on se frotte les mains sur la rembarde du balcon, ou sur un pont, ça fera pareil? (oui je suis niaise, mais j'assume) Ou si on se tamponne les aisselles après 3 heures de randonnée en plein cagnard?


ça m'intrigue cette affaire.

17 juillet 2005

trois

Des fois, il ne faut pas avoir peur de se faire des ennemis. D'ailleurs, ce n'est pas de la peur, c'est de l'honnêteté face à soi-même et face aux autres.
Je déteste le Tour de France (oui j'ai regardé-enfin, je me suis endormie devant- cet après-midi). Je me sens obligée de justifier ce point de vue.

D'abord, j'ai l'impression que ce sont toujours les mêmes qui gagnent. Les autres font de la figuration. Enfin, du peu que j'en ai vu. Les gros balèzes devant, les petits derrière. Et puis je ne peux pas m'empêcher de penser qu'ils se dopent, ces gars-là. Malgré toute une préparation physique et mentale que je ne conteste pas, c'est humainement impossible d'enchaîner les bornes à 60 km/h (des fois moins, mais pas souvent)sans un petit supplément de vitamines. Même si la devanture propose un échantillon de cyclistes qui ont seulement pris quelques vitamines. Souvent, ceux-là abandonnnent après quelques étapes, ils en peuvent plus. Et puis c'est saoulant de terminer dernier alors que les autres pédalent allégremment, frais comme des gardons. Et perso, il me fait peur l'américain en jaune là. Il n'a pas un regard engageant. Limite robot.

Ensuite les commentaires des présentateurs sont fatigants. Ils se prennent pour qui, ces mecs? Ils s'excitent pour un rien, s'emballent pour tout. T'en as même qui te font des cours d'histoire géo rien qu'en matant le paysage.

Et pour finir, les spectateurs. Le spectacle, c'est eux, en fait. Les gens se jettent littéralement sur la route, souvent avec des accoutrements trop space. Des parapluies sur la tête, ou des mains du Géant vert. Affligeant. Ils courent à côté des vélos, je sais pas pour vous, mais si je trimais à pédaler comme une malade sur une côte à 12%, j'aimerais pas trop que des gros relous viennent courir à côté de moi, en soufflant comme des gros boeufs et en m'aspergeant d'eau de la glacière de mémé. C'est vrai, quoi, c'est dangereux.

Pour finir, je dis rarement ce que je pense sur ce blog, politiquement parlant.
Mais là, je tenais à vous avertir, car à midi, j'ai regardé la télé, et j'ai eu très peur. Un instant, j'ai cru qu'on était retournés en 40. Une propagande de Sar-ko***zy à propos de son parti. Hallucinant. Le discours genre "récompensons la france qui travaille", limite beuglé, ça m'a fichu la trouille. Et en plus, ça dure au moins 5 minutes. Il te lâche pas, le keum. Tout ça avec des photos de gens qui sourient, des slogans écrits en énorme pour appuyer les dires du chef. Grosso modo, à partir de là maintenant, si tu bosses pas, ça va iéch pour ta face. Par contre, si tu adhères à l'hu-aime-pet, la bonne parole t'a atteint, tu rentres du bon côté de la force. Béni sois-tu. Bon, ok, il faut de tout pour faire un monde, mais là tout de même c'est abusé. Qu'ils recrutent à tour de bras, bon. Que des gens adhèrent à leurs propos, bon. Mais que ce genre de propagande musclée passe juste après le jour du seigneur, sur une chaine publique, je trouve ça carrément orienté et déplacé.

Et aujourd'hui, c'est l'anniversaire de Paula. Joyeux anniversaire (là je chante, mais vous entendez pas - et elle non plus). Gros bisous, Paula.


ce post s'appelle trois en hommage à Brad Pitt parce que dedans, je parle de trois sujets: le tour de france, la propagande de qui vous savez, et l'anniv de Paula. C'est tout (mais fallait que je le dise).

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16 juillet 2005

top glamour

Hum, je me demande à quoi je peux bien ressembler sur la plage (ou dans l'eau, c'est selon)...




La photo du beluga (la baleine blanche là) prise ici (et non ce n'est pas moi pour de vrai)

Top glamour, c'est mon surnom (comme wonderwoman un peu, mais en plus sexy)
Je suis sûre et certaine que vous me reconnaitrez.

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12 juillet 2005

double

Ma fille, à qui je pense quand même avoir donné un joli prénom, a suggéré des idées fort pertinentes quant au prénom que nous allons donner au bébé.
On ne sait pas si la crevette est une fille ou un garçon (en tout cas pas un crustacé ni un gastéropode...enfin je crois), donc on lui a demandé si elle voulait bien nous faire part de son avis. Déjà elle essayait de ne pas être influencée par son père, ce qui n'est pas chose facile, puisqu'il lançait des vannes débiles à tout bout de champ.
Soudain, une illumination. Mais oui bien sûr, la voilà l'idée originale, le prénom rare!

MARIE-BOURSIN


Déjà j'adore le concept de prénom double, et puis celui-là fera parfaitement versaillaise sur le retour, chemisier brodé et jupe droite grise, collants bleu marine et serre-tête en velours.Ptêtre même qu'on pourrait avoir des actions chez le fabricants de fromages à pâte molle à l'ail et aux fines herbes (et aussi au poivre des fois).


Bon, il faudrait que le bébé soit une fille, sinon les chances de Marie-Boursin seront largement compromises. Quoiqu'elle nous ai aussi soufflé "Jean-Clown", ce qui n'est pas banal, mais sonne moins pâteux que Marie-Boursin.


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11 juillet 2005

fume et tu verras



Ces doux messages dont sont affublés les paquets de tabac qui fait mourur, on dirait presque que j'aurais pu les écrire moi-même. Sauf que j'aurais été moins délicate.
"Fumer rend les testicules mous et le pénis riquiqui"
Par exemple.
Je suis très calme. Si si.

10 juillet 2005

uppercut

Chers gens,

Je crois véritablement que mon pauvre cerveau malmené par des accès de flux inverses à la tendance va littéralement exploser. Or, je ne sais comment remédier à ce délicat problème qui risque de provoquer une folie permanente, voire des dysfonctionnements divers des autres parties de mon corps. Hormis le fait que je me considère comme grandement atteinte de psychosomatisme avéré et prouvé, je peux cependant vous avouer que parfois mon petit coeur et mon grand cerveau s'unissent dans un même combat. Le combat uni contre ce déreglement me rend légérement sur les nerfs, qui sont déjà grandement endommagés par le stress. Imaginez donc l'état de mon cerveau, bouillonnant comme une marmite de sorcière, cherchant à s'échapper par où il peut. Je le retiens pourtant hein, mais ce n'est pas chose aisée.
J'ai la tête qui tourne.
J'ai des vertiges.
Faut que je décompresse absolument. On dirait que je n'arrive qu'à avoir une seule pensée en même temps (d'autres diront que c'est normal), le stress retombe doucement, virevoltant, s'assommant sur le parquet. Mais il est toujours là.
Et mon crétin de mec qui croit intelligent et adulte de recommencer à fumer juste là, maintenant. Il a trouvé judicieux cette intoxication, soit disant le seul moyen que ses petites coucougnettes ont trouvé pour gérer le stress. Justement, je me disais que j'étais trop zen, trop tranquille, qu'il me fallait un peu de piment et d'excitation. J'en suis dingue. Je ne comprend pas ses raisons, elles me paraissent obscures voire noires comme le trouduc du diable. Comment peut-on délibéremment choisir cette voie, alors qu'on a deux enfants et que je suis enceinte, crébindiou? Croit-il que ça va me calmer, me rendre confiante en l'avenir, de sentir l'odeur de tabac froid sur ses vêtements? Et de sentir son haleine pestilentielle qu'il essaie de camoufler sous le dentifrice champion?
Ce n'est pas le chemin que j'ai choisi.
Il va s'en prendre pour son grade. Je suis énervée. Remarque, ça me fait un peu de bien, le médecin est venu tout à l'heure, j'ai un déréglement de l'oreille interne (provisoire) qui me fait tourner la tête, bourdonner les oreilles et élever le niveau nauséeux de mon organisme. Très fatiguant.


Merci de m'avoir écoutée, je me suis transformée en paquet de nerfs. On peut dire que ça manquait à mon look...

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09 juillet 2005

come back

Oulàlà, autant de temps sans bloguer, comment est-ce possible?
Ben non, je n'étais pas en vacances, quoique je n'aurais pas craché sur une petite semaine aux Bahamas, même s'il fallait prendre l'avion.
En tout cas, je remercie grandement angel de s'être si bien occupée de mon blog pendant mon absence, en fait, je n'étais pas vraiment absente hein, mais vous vous en êtes doutés quand vous avez lu la séance lavage de veuchs absolument épique. Mon salon a survécu, merci. Même si mon Pierre Richard estampillé gaffeur de l'année a mixé la soupe dans le broc qu'il savait avoir servi au délit. On lui pardonnera hein, et puis moi, ça m'a fait bien rire.
J'ai vécu une des semaines les plus terribles que je n'ai jamais vécu. A part la fois où, à la maternité, après la naissance de Nounette, ils m'ont fait croire pendant trois jours qu'elle pouvait avoir une maladie génétique, je crois que là, c'était la médaille d'argent. Tout mon entourage s'est concentré autour de mon stress pour faire monter la tension commune sur mon ventre et sur ce qui se passe à l'intérieur. Et non, je ne sais toujours pas s'il s'agit d'une fille ou d'un garçon. Toujours pas. Mais je crois que le principal, vraiment, du plus profond de moi et encore plus que toujours d'avant de sa face, c'est que mon bébé aille bien. J'ai la tête qui tourne rien que d'y penser.
Jeudi 30, on m'a annoncé que je devais passer une amniocentèse. Presque obligatoire, étant donné le risque accru. C'est là que le stress monte d'un coup, hop, himalayen même.
J'ai perdu environ 2 kg (bon ok, j'ai des réserves, c'est bon, hein, j'ai entendu).
Lundi matin a lieu l'examen en question. Ce n'est pas que c'est douloureux, mais impressionnant. Je ne sais pas comment décrire ce qui m'a traversé l'esprit. La douleur ne me faisait pas peur. Mais j'ai quand même failli faire pipi dans ma culotte. Cash. Une seringue grande comme mon avant-bras dans le bide. Mon bébé qui fait un pied de nez.
On a tout eu: hôpital et consultation de génétique. Je me sentais comme une baleine sur la terre ferme. L'attente des résultats, terrible. En fait, je crois que je remercie la médecine d'inventer des techniques qui permettent moins d'attente. Remarque, ça décuple le stress.
Le mardi et le mercredi, j'ai attendu. Avec d'énormes contractions déstabilisantes, je ne savais plus comment me mettre, ni à quoi penser. Je voulais juste être soulagée, que quelqu'un me dise que tout va bien. Je crois même que c'est le bébé qui me l'a dit, en me donnant des coups comme jamais. Quand j'ai su les résultats partiels, j'ai pleuré, vous savez, comme dans les dessins animés: je suis sûre que mes larmes étaient horizontales, parallèles au matelas.

C'était mercredi dernier. Cela faisait presque une semaine que je ne mangeais pas, que je dormais mal, et maintenant, j'ai une gastro. Trop top hein.


Je ne remercierai jamais assez angel pour son soutien infaillible. Parce que je pense avoir été chiante à max, allongée sur mon lit, les yeux mi-clos, la bouche pâteuse. Moche quoi. Sauf que grâce à elle, j'ai les cheveux comme dans la pub elsève.

Et c'est bientôt mon anniversaire. D'ailleurs je suis persuadée que les résultats finaux arriveront ce jour là, ma 31ème bougie achèvera peut-être toutes les peurs qui ont été miennes. Et je pourrais écrire: le 21 juillet 2005, enfin, je peux vivre une grossesse sereine (presque).


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